La plus-value pharmaceutique, complémentaire à la prise en charge médicale, réside dans la gestion de la douleur :
– en réévaluant éventuellement celle-ci (avec réorientation vers le prescripteur),
– en renforçant sa connaissance de la pharmacothérapie et de la dispensation des antalgiques,
– en intégrant la prise en compte des éventuels effets indésirables (pouvant être corrélés au plan de prise, à la galénique, aux posologies ou encore à certaines interactions médicamenteuses ?…),
– en prenant en considération le statut fonctionnel du patient ainsi que tout autre facteur pouvant influencer la gestion de la douleur (et particulièrement l’observance et la tolérance au traitement).